Créé il y a plus d’un siècle et demi, elle est désormais présente dans toute l’Europe ainsi qu’en Asie et en Afrique. En France, on dénombre pas moins de 2200 agences de la Société Générale. Ses conseillers sont en mesure de proposer des solutions adaptées à chaque cas.
La baisse des taux d’intérêt provoque actuellement une augmentation de la demande pour l’un de ces produits financiers, il s’agit du rachat de crédit immobiliers.
Les 3 raisons qui motivent les emprunteurs a procéder à un rachat de leur crédit immobilier :
- La logique : Le raisonnement qu’ils tiennent est simple : “J’ai souscrit un prêt immobilier il y quelques années à 3.5% et que les taux actuels sont a à peine 2%, puis-je négocier ?”
- La possibilité d’augmenter sensiblement son pouvoir d’achat. Car même si cette opération comporte des frais, ils peuvent aisément être compensés par la baisse du taux. (Qui entraine bien entendu une diminution des mensualités.
- Le code de la consommation : Puisqu’il prévoit qu’un prêt immobilier puisse être racheté.
Les grandes banques ainsi que beaucoup de sociétés spécialisées dans le crédit sont capables de proposer des rachats de prêt à taux raisonnables. La société Générale à mis au point une solution intéressante.
Comment savoir si l’on est concerné ?
La première chose à savoir, c’est que seuls les prêts immobiliers sont “rachetable”. Les crédits travaux, même s’ils ont un rapport avec l’immobilier ne sont pas concernés. (En effet, ils entrent dans la catégorie des crédits à la consommation). Ils peuvent cependant être intégrés dans un regroupement de crédits à la consommation.
La deuxième, c’est que plus le prêt à racheter est récent et plus l’opération sera profitable. (Dit d’une autre manière : Moins on a payé d’intérêt et mieux c’est) Par exemple, il ne serait pas intéressant de faire cette opération sur un prêt sur vingt ans qui aurait été contracté il y a douze ans.
Le troisième élément important concerne les taux d’intérêt (celui de l’emprunt en cours et celui du rachat proposé par la Société Générale) Plus la différence entre eux est grande et plus l’opération est fructueuse.
Enfin, et pour finir, il faut prendre en considération les frais.
- La plupart des crédits immobiliers comportent une clause mentionnant des pénalités de remboursement anticipé. La banque pénalise ceux qui n’amène pas le prêt à son terme. (L’indemnité est cadrée par la loi et se calcule ainsi : Six mois d’intérêt sur le capital restant dû)
- Les frais de dossier appliqués par la Société Générale.
- Les frais de garantie.
La solution proposée par la Société Générale :
- La lecture du chapitre précédent ne doit pas vous refroidir, même si le parcours vous semble ardu, car en ce qui concerne les trois premiers éléments, c’est le conseiller qui vous expliquera et vous orientera vers un rachat de crédit éventuel après étude du dossier. De plus vous pourrez vous faire votre propre opinion sur la faisabilité du projet en prenant connaissance de l’échéancier proposé et en le comparant à l’ancien.
- En ce qui concerne les frais, il seront intégrés dans le financement.
- Quelque soit l’organisme financier qui a accordé le crédit immobilier, la SG peut à votre demande rembourser l’intégralité de la somme restant à payer ainsi que les pénalités. Puis elle vous proposera un plan de remboursement adapté à votre situation financière.
- Lorsque l’on met en place un rachat, on n’est pas obligé de garder la même durée de remboursement que celle de l’ancien crédit. On peut aussi décider de rembourser plus par mois (à condition que le taux d’endettement soit respecté). Il peut donc être intéressant de demander au conseiller bancaire de vous proposer plusieurs échéanciers. En gardant à l’esprit que plus un crédit est court et moins il est coûteux.